Après que Hasuki soit partie, Yuki tomba de son lit, très épuisée. elle regarda le plafond tranquillement... mais part un cout instant, elle sentit une présence ... quelqu'un était avec elle ...
Elle s'est souvenue de quelque chose, la jeune fille prit une valise l'ouvrit et sortit un petit miroir de cristal "magique". Elle se disait qu'il y avait une présence ici, c'est vrai, son miroir fit apparaitre une femme élégante, de 20 ans, forte poitrine et maigre, très jolie, elle portait des vêtement du style "asiatique", et il y avait des motifs de papillons dessus ...
-Tante Yûko !
-Bonjour ma petite, je voulais juste avoir de tes nouvelles, tu ne m'a pas appelée, cela m'a inquiété.
-Ah, excuse moi, comment savais-tu ... que j'avais retrouver mes souvenirs ?
-Je suis une Sorcière de Kaikoroku (Souvenirs) .
-Ah oui. Merci pour ses jolie vêtements de soirées ...
-Mais de rien... pourquoi ne les portes-tu pas, c'est aujourd'hui' ton bal non ?
-Je suis trop différente de ces humains, je fait semblant de les aimer mais, il me font peur dès fois... Disait la jeune fille qui baissa la tête
-Je sais, j'ai vécue ça aussi... Mais il faut que tu reste, tu viendra me rendre visite pendants les vacances.
-Oui... tu as raison... *Petit sourire* Heureusement que tu est la Tante Yûko.
-Bon, je te dit à la prochaine fois *sort une bouteille de saké*, bisoux !
Puis le miroir de la jeune fille redevenait normal, cette objet était quelque chose de précieux car c'est très facile de parler avec sa tante qui vit dans une autre "Dimension". Elle se demande si elle va vraiment au bal, "Je préfère me reposer, et après ... peut-être que j'irais"
Yuki avait oublier de ranger son miroir... si quelqu'un lui prenait, elle serait dans de gros problème...
[ 30 minute ] Yuki se réveilla, elle se leva et pensa au bal, elle décida d'y aller. Elle alla chercher sa tenue et elle la mit : Une robe courte blanche avec des bretelles, où il y avait des motifs de papillon bleu sublime, un ruban blanc qu'elle mit autour de son cou, un petit colliers au pierres de saphirs, elle était splendide
-On ne peut pas reculer, donc j'y vais !
Elle sortit de la chambre